vendredi 10 mars 2023

Captain Nemo (Edit)

À écouter sur #MaxxiM #webradio : Boris Brejcha - "Captain Nemo" 💚💙🃏🎶
Vos oreilles vont frémir et votre cœur va palpiter 🥹💓 Bam bam... Bam bam...

#Progressive #Techno #Trance 👽
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lundi 6 février 2023

Kid Massive & Tourneo Ft Mikey Mike - Say House

Le bon son au MAXX, c'est sur Maxxi M ! Voici un titre de 2022 délicieusement 9️⃣0️⃣s 🎶💞❤️‍🔥
#Housemusic 🙂🙃 Bonne semaine sur #MaxxiM #webradio 🥰


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samedi 4 février 2023

Boys Noize feat. Naeem & Velvet Negroni - Let Us Rave (Extended Mix)

Amateurs d'acid, ce titre est pour vous ! Retrouvez Boys Noize featuring Naeem & Velvet Negroni avec "Let Us Rave" 🍭🙂💛💛💛💛
Et c'est sur quel radio ❓ Sur Maxxi M bien sûr 😉😜


#MaxxiM #webradio #Housemusic #Acidhouse
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lundi 24 janvier 2022

Interview d’Olivier Houriez : « Je suis passionné de musiques. J’aime vraiment ça ! »

Olivier Houriez est enseignant et auteur dans le Nord de la France. Il se passionne pour le cinéma et la musique tous styles confondus. L’écriture ainsi que l’analyse des œuvres de nos artistes n’ont aucun secret pour lui. Olivier a su réaliser son rêve d’adolescence : devenir biographe. Fan de Mylène Farmer, il a écrit deux livres sur la popstar française. Ses ouvrages sont les fruits d’un très long travail de recherche. Les informations collectées sont appuyées par des témoignages. Interview ! 


Stéphane Pichet pour Maxxi M : Bonjour Olivier, peux-tu te présenter brièvement ?

Olivier Houriez : J’ai 46 ans. J’habite près de Lille. Je suis enseignant.

Un trait de personnalité en particulier ?

Je suis passionné de musiques. J’aime vraiment ça !

Tu es écrivain/auteur, passionné de musique(s) et fan de Mylène Farmer. Nous reviendrons évidemment sur ta passion pour la popstar. Quelles sont tes autres influences ?

La liste des artistes que j’écoute et apprécie est beaucoup trop longue. C’est très varié en tout cas. Quelques exemples : Depeche Mode, U2, Madonna, Muse, Coldplay, Massive Attack, David Bowie, Prince. Du côté de chez nous, Jean-Jacques Goldman, Indochine, Etienne Daho, Alain Souchon, Serge Gainsbourg. C’est une liste non exhaustive.


J'ai toujours aimé écrire. Le rêve est devenu réalité… trente ans plus tard


Écris-tu depuis longtemps ?

J’ai toujours aimé écrire. Adolescent, j’avais cette envie secrète d’écrire des biographies musicales sur les artistes que j’aimais. Le rêve est devenu réalité…trente ans plus tard. Cela peut sembler très long mais je crois que l’essentiel est d’y parvenir. 

Mylène Farmer, un talent confirmé depuis plus de 35 ans, une carrière hors normes, une fidélité tout aussi exceptionnelle de la part de son public. Comment interprètes-tu cette fascination ? 

Je ne sais pas si « fascination » est le mot qui convient le mieux pour résumer cette longue histoire entre le public et Mylène. Je pense que c’est plutôt une réelle affection. Mylène Farmer est une artiste unique tant par l’originalité de son univers de mots, de musiques et d’images que par sa personnalité hors du commun. Ce mélange de force et de fragilité fascine, c’est certain. Elle vogue de succès en succès depuis plus de trente ans en restant fidèle à elle-même, c’est-à-dire, terriblement discrète. C’est une artiste très populaire, qui ne triche pas avec son public et qui est la vraie « patronne » de la chanson française aujourd’hui. 

On ne peut parler de Mylène Farmer sans évoquer Laurent Boutonnat. Il est le compositeur qui a découvert avec son ami Feu Jérôme Dahan le potentiel de la chanteuse. Celle-ci donne pourtant leur chance à d’autres musiciens, dont le jeune Léon Deutchmann. Que penses-tu de ces changements ? 

C’est vrai que depuis un peu plus de 10 ans, les collaborations avec d’autres musiciens sont l’essentiel des projets de Mylène. Ce sont les fruits de rencontres artistiques et humaines et la preuve d’un état d’esprit tourné vers les autres. Néanmoins, avec des artistes comme Feder, Moby ou le groupe Archive, on ne peut pas dire qu’on soit en territoire totalement inconnu. On y retrouve une certaine noirceur, un climat mélancolique. Vous parliez de Léon Deutchmann et je trouve que ses compositions font vraiment penser au style de Laurent Boutonnat. Le tout donne des collaborations intéressantes. Mais pour moi, les choses sont très claires…Le meilleur de la carrière de Mylène, ce sont les années du duo Farmer/Boutonnat.

Beaucoup de fake-news circulent sur Internet y compris lorsque Mylène reste silencieuse. Une partie de la presse adhère à ce phénomène. Comment expliques-tu cette frénésie ? 

C’est malheureusement une caractéristique de notre époque. Cette frénésie du jugement hâtif, du « vouloir davantage et de suite », de l’attaque gratuite et anonyme. Internet est un outil formidable mais qui peut être destructeur. Mylène est d’une discrétion absolue sur sa vie. Cela a toujours été sa ligne de conduite. Elle revient dans la lumière de temps à autre. Parfois, il fallait attendre 4,5 ans avant de voir un nouveau projet du duo. J’ai le sentiment que ce temps d’absence était compris, respecté et accepté par les fans. Je considère que les artistes donnent énormément d’eux à travers leur travail. Le reste est, et doit rester de l’ordre du privé. 

L’artiste snobe volontiers les réseaux sociaux. Elle ne possède aucun compte authentifié, ce qui ne l’empêche pas de s’informer sur le monde des fans. Des sites web et autres pages spécialisés sont légion. Rappelons que ces publications restent non-officielles. Les consultes-tu régulièrement ? 

Oui ça m’arrive, il y a souvent un travail de qualité sur ces sites, ces pages mais aussi un aspect communautaire qui prend parfois l’ascendant sur l’aspect purement informatif. On a le droit au meilleur comme au pire. J’admire le travail des modérateurs qui doivent mesurer ou dégager les propos de certains fans, un peu trop…extrêmes. Je suis très peu présent sur les réseaux sociaux. Je vais l’être de moins en moins je pense.

Les fans spéculent sur la fin de carrière de Mylène depuis environ l’année 2006. Cette inquiétude se base sur une ambiguïté à chaque final de concert et au silence radio qui suit. On a pu le voir encore avec le final de l’Horloge en 2019. Crois-tu que l’artiste joue de cette attente afin de conserver l’amour du public ? 

Non, pour moi c’est juste impensable. Je crois qu’elle a réellement cette peur de ne plus revivre ces émotions qui sont les siennes. On ne sait jamais ce que nous réserve la vie. Cependant, pour être complétement sincère, ce dernier final sur « L’Horloge » m’a laissé très perplexe. J’ai assisté à la première date et le choix de cette chanson a provoqué beaucoup de stupeur dans le public. 30 ans après ses premiers concerts, cela pouvait nous dire que la boucle était bouclée.


Mylène remontera sur scène en 2023, en espérant évidemment que la crise Covid-19, encore en cours, ne nous amène pas plus de restrictions. Qu’as-tu pensé des concerts 2019 à Paris-la-Défense Arena ?

Mylène Farmer et Laurent Boutonnat proposent des spectacles incroyables depuis plus de trente ans. Les limites techniques sont toujours repoussées. On se demande à chaque fois « Que vont-ils faire pour nous épater, nous surprendre ? ». Quand on voit le résultat, on se pince pour y croire ! C’est pour eux d’abord un défi qui se termine toujours en triomphe public et critique. J’ai vu pratiquement tous les spectacles et je dois dire que pour le dernier en date, j’ai été très, très impressionné par la scène d’ouverture et le final. Mis à part « L’Horloge » qui était une vraie surprise, les titres choisis forment quand même une sorte de « best-of ». On ne peut jamais satisfaire tout le monde et cela devient très difficile pour le duo de choisir les titres qui formeront la « setlist ». 

En tant que fan, quelle est ta vision de la réussite, du succès de Mylène ?

Elle fait partie de ces rares artistes transgénérationnels toujours en activité en France. Johnny l’était, Jean-Jacques Goldman l’est toujours malgré sa retraite. Aujourd’hui, à part Mylène, je ne vois qu’Indochine et Patrick Bruel. Il y a sans doute d’autres exemples, mais ils ne sont pas si nombreux.

Il y a déjà de nombreux livres sur Mylène. Tu en as écris deux. Ton dernier ouvrage s’intitule « Mylène Farmer, une voix dans la nuit » (éditions Camion Blanc). Comment te démarques-tu des autres auteurs ?

Ce n’est vraiment pas à moi de répondre à cette question. Mais j’ai essayé de donner à mon livre, un style, son identité propre.

Le livre est particulièrement bien référencé avec de belles photos en couleurs. Comment as-tu travaillé pour obtenir les informations, si ce n’est pas indiscret ?

C’est le fruit d’un très, très long travail. 

Le big boss de Camion Blanc, une maison spécialisé dans les ouvrages pop-rock, a accepté de t’éditer. Il t’a même réservé un très bon accueil. Comment l’as-tu convaincu, si tu as eu besoin de le convaincre ?

Je pense que c’est à eux de répondre aussi à cette question. Ce qui est certain, c’est que d’être signé chez Camion Blanc est une joie immense pour moi, une fierté.


Il n’a pas eu de « modus operandi » strict. J’ai toujours des carnets de notes sur moi


Quel est ton « modus operandi » d’écriture, ton rythme de travail :  le matin, le soir, combien de temps… ?

Il n’a pas eu de « modus operandi » strict. J’ai toujours des carnets de notes sur moi. Et le livre a été écrit à divers endroits. Sur une plage, sur le coin d’une table d’un café et chez moi bien évidemment. Parfois cela pouvait durer une heure, ou beaucoup plus. C’était souvent le jour, parfois la nuit.

Est-ce que ton dernier ouvrage a tout dit sur Mylène Farmer ?

Non, pas du tout. Cela serait vraiment faux, prétentieux de dire que mon livre dit tout de Mylène Farmer. J’ai voulu un livre à la fois objectif, informatif, qui puisse plaire aux fans comme aux non-fans. Des personnes parlent d’« Une Voix Dans La Nuit » comme une « encyclopédie » sur Mylène Farmer ou de « livre définitif ». Ce sont des compliments qui me vont droit au cœur mais est-ce vrai ? C’est aux lecteurs de le dire. C’est le fruit d’un long travail et très respectueux vis-à-vis de Mylène. 

 As-tu l’intention de sortir une nouvelle version, ou bien un autre livre ?

Oui et oui.

Que souhaites-tu dire aux femmes et aux hommes qui liront cet entretien ?

Mes amitiés et tous mes vœux de santé pour 2022., malgré cette pandémie qui n’est pas tout à fait terminée.

Merci beaucoup Olivier.


La dernière biographie d'Olivier Houriez, Mylène Farmer, une voix dans la nuit se lit un peu comme un roman, c'est une invitation au voyage. Quant à nous, nous vous invitons à découvrir ce beau livre sans plus attendre  :

Fnac.com




samedi 21 août 2021

The Age Of Love (Charlotte de Witte & Enrico Sangiuliano Remix)

Coup de ❤️ #MaxxiM #webradio

Age Of Love - "The Age Of Love - Charlotte de Witte & Enrico Sangiuliano Remix

▪️ Réalisation : 13.08.2021
▪️ Label : Diki Records

À écouter sur Maxxi M 😉👍
▪️ https://www.maxxim.org
▪️ https://www.radio.fr/s/maxxim


lundi 7 décembre 2020

Interview de Jayleen Mc Carty : « Croyez en vos rêves, ne lâchez rien ! »

Jayleen Mc Carty est une artiste-auteure-interprète de la région nantaise passionnée de soul et de folk-rock américain. Sa voix chaude sur un tempo hip-hop invite à la danse, mais pas seulement. Originaire de l'île de Saint-Martin (971), la chanteuse à su donner à sa musique une dimension mondiale dont les diverses influences composent un son original et inimitable. Elle vient nous parler de ce style musical, de son dernier single et de ses projets. Interview !




Stéphane Pichet pour Maxxi M : Bonjour Jayleen MC Carty. Peux-tu te présenter brièvement ?

Jayleen Mc Carty : Bonjour. Je m'appelle Jayleen Mc Carty, je suis basée sur la région nantaise, plus précisément dans la petite ville de Gorges, au cœur du vignoble nantais.

Quel trait de ta personnalité mets-tu volontiers en avant ?

J'aime bien mettre l'accent sur le coté solaire, essayer de transmettre de la bonne humeur aux gens. 

Tu fais de la musique depuis ton plus jeune âge. Quels sont tes influences ?

Étant originaire de l'ile de St Martin ,située au carrefour entre différentes influences musicales , c'est donc logiquement que ma culture musicale a été baignée par différents styles , allant de la musique caribéenne (zouk, kompa etc..) a la musique afro américaine (soul, rap, r'n'b) en passant par le rock. 

Tu es jeune, tu as fait de la folk-rock, du blues et aujourd'hui de la soul. Ces trois genres, plutôt anciens, sont un peu le fado américain. Ce sont des chansons de l’âme. À quel type de public [s’il doit en avoir un] s’adresse ta musique ?

Après avoir évoluée dans la folk-rock le temps d'un album en 2018 sous mon ancien nom de scène V'Nuss ,je me suis recentrée sur mon style de prédilection la Soul et plus précisément la Soul Rock.
C'est effectivement un style assez précis et qui vise principalement les aficionados mais j'aimerais aussi en profiter pour le faire découvrir à un plus large public.

La musique, c’est toute ta vie. Est-elle enracinée dans ta culture familiale ?

Oui tout à fait et le mot est faible. En effet, dans ma famille tout le monde est plus ou moins en lien avec la musique ( musiciens, chanteurs, danseurs). 

On ne devient pas musicien par hasard mais plutôt par passion. Ta famille est en lien avec la musique. Comment as-tu débuté ta carrière ?

Mes premiers pas dans la chanson date de l'enfance, lorsque ma grand mère m'a envoyée a l a chorale de notre église. Suite à ça j'ai grandit donc dans la musique jusqu'aux vrais débuts grâce à un groupe St Martinois Youth Wave Band qui m'a permis de faire mes première scènes.

Quel Savoir-faire as-tu acquis en exerçant ton art [mineur, disait Gainsbourg] ?

Je dirai que j'ai appris a gérer une marque, gérer mon image.

Tu te passionnes plus pour l’écriture des textes, la composition, ou bien les deux ?

Même si je ne suis pas officiellement compositrice dans le sens ou je ne joue pas d'instrument, je me considère un peu comme tel car j'aime proposer des mélodies a mes musiciens qui se chargent de les mettre en œuvre. Je prend aussi beaucoup de plaisir a écrire mes textes, raconter des choses qui me tiennent a cœur donc je me passionne pour les deux.


La vie est fragile, il faut profiter des moments avec ses proches


Nous allons parler rapidement de la pandémie de Covid-19 qui touche les gens dans leur chair et met à mal l'économie de la planète.

Comment vies-tu la pandémie et affecte-t-elle ta carrière ?

Cette pandémie est vraiment arrivée comme un cataclysme pour tout le monde artistique et culturel.

j'ai donc été touchée de plein fouet comme mes collègues du métier (annulations de date , décalages des enregistrements, etc..) . Fort heureusement, j'ai pu mener à bien mon projet d'EP , et nous avons du nous adapter en développant d'autres parties de la promo (radio, live, etc...).

Quelles leçons ou expériences tireras-tu de cette crise sanitaire qui bouleverse notre quotidien ?

Tout d'abord que la vie est fragile, qu'il faut profiter des moments avec ses proches, des petites visites qui semblaient dérisoires paraissent aujourd'hui très importantes depuis qu'on nous a enlevé le droit de se déplacer comme on veut.  Au niveau professionnel, j'ai pu apprendre a m'adapter et trouver des nouvelles solutions pour évoluer.

Tu as évoluée au sein du duo Acoustik'ment Votre. Tu es une ex-V’Nuss qui n’était pas un groupe, mais tu utilisais ce pseudo en tant qu’artiste solo. Comment as-tu évolué vers l’actuelle Jayleen MC Carty ?

Tout a fait ! Le duo m'a permis de tourner dans la région Ouest mais était plutôt une expérience parallèle a ma carrière solo.

Sous le nom de V'Nuss j'ai réalisé différents single, en solo ou en featuring avec des artistes proches de moi. J'avais également créé un collectif de chanteuses danseuses et d'un rappeur (les Diamond'z DNA). Puis, J'ai ensuite sorti un EP en 2017, et un album en 2018. 

C'est après cet album qu'est venue l'envie de me recentrer , j'avais fait le tour avec V'Nuss et je me sentais plus mure et prête a orienter ma carrière vers ce nouveau projet, qui s'est accompagné d'un changement d’esthétique musicale et artistique. C'est ainsi qu'est née Jayleen Mc Carty.

Aujourd’hui, tu as le « smile ». Sorti le 1er juin 2020, ton single « My Pride » connaît un franc succès. Ce titre a d’ailleurs fait l’objet d’un « Club remix » produit par les DJs TeePaul & Jay Style qui est largement diffusé en radio et plébiscité par le public. C’est un texte militant ? Dis-en nous plus sur cette superbe chanson.

Effectivement,  ce titre explique que  dans une relation quoiqu'il arrive nous devons assumer nos faiblesses,  en gardant la tête haute en refusant de sacrifier sa fierté.

Ton nouveau titre est en français. Il s’intitule « Juste un perdu ». Que souhaites-tu partager au travers de cette chanson ?

Parfois, une relation qui donne l'impression d’être arrivée a son terme  peut réserver de belles surprises  et que parfois dans la vie, tout n'est pas perdu.





Change ce qui peut être changé et accepte ce qui ne peut pas l'être


La musique connaît de nombreux changements depuis des années : streaming, réseaux sociaux, lives virtuels, etc. Je ne me permettrais pas de te demander ton âge mais es-tu une « enfant d’Internet ». Tu as peut-être débuté comme ça. La communication par ce biais n’a pas de secrets pour toi ?

Alors  pas du tout, le streaming les réseaux  sociaux pour moi c'était le strict minimum. Évidemment le contexte actuel fait que l'on soit obligé de s'adapter et plus que jamais « vivre avec son temps »  Petit a petit j’apprends a maîtriser les différents moyens de communication et en parallèle j'ai une équipe qui m’épaule.

Quelles sont les retombées de la web’com ? Plutôt positives, de bonnes surprises, ou non ?

Je dirais qu'elles sont Plutôt positives, cela permis d'élargir ma communauté et de faire de belles rencontres artistiques et humaines.

Es-tu engagée dans le mouvement associatif ou caritatif ?

J'ai participé à quelques événements caritatifs pour des associations  de récoltes de dons soit pour les enfants malades ou pour la fourniture de matériel médical, et chaque années j’essaye de participer au Téléthon.

Que souhaites-tu dire aux femmes et aux hommes qui liront cet entretien ?

Croyez en vos rêves, ne lâchez rien . Et j'ai une devise : « Change ce qui peut être changé et accepte ce qui ne peut pas l'être ».

Quelle est ta vision de la réussite, du succès ?

Pour moi, tout cela va plutôt être axé sur une certaine reconnaissance  au niveau du travail, que ce soit du coté du public (succès) ou du coté des professionnels (réussite). 

Dernière question à la « Fréquenstar », tu te vois comment dans dix ou quinze ans ?

Vivre de ma musique, mettre mes proches a l’abri du besoin grâce a ma passion et toutes les autres bonnes choses seront du plus.

Merci beaucoup Jayleen.


Si vous ne connaissez pas déjà Jayleen Mc Carty, nous vous invitons à découvrir son travail sur Internet et sur scène.

Visitez son site : jayleenmccarty.com

dimanche 6 décembre 2020

Nikkie van Lierop - Te dom voor de duivel


Bon dimanche à vous... en musique !

Connaissez-vous cette chanteuse ❓
Si nous vous disons "Rock to te Beat" ? Un tube sorti à la fin des années 1️⃣9️⃣8️⃣0️⃣. Ce titre a marqué les 9️⃣0️⃣'s et a été censuré en France. Si l'on vous dit "House, New-Beat, Techno". Ça va rappeler les 20 ans de certain(e)s 😂
La chanteuse, c'est Nikkie Van Lierop alias Jade 4 U du projet musical One O One-Electric Dreams (101). Elle a notamment travaillé sur de nombreux projets électroniques avec le producteur Maurice Engelen (alias Praga Khan) 🎚📀.

À 57 ans, elle est aujourd'hui une artiste de variété lyrique et de musique expérimentale renommée en Belgique, aux Pays-Bas et en Allemagne.
Elle est par ailleurs une ardente défenseure de la cause animale.
"Rock to the Beat" est en rotation sur #MaxxiM #webradio
Rock to the Beat (version longue) sur You Tube : https://youtu.be/cv_hSjTmbRQ